Promenade sous-marine

Album des membres – Jeanne-Françoise Humbert

Et nous voici plongés … en pleine mer ! Un univers photographique plus confidentiel, pas facilement accessible au commun des mortels …

Une occasion pour nous tous de se mettre en immersion, le temps d’un album. Jeanne-Françoise nous l’introduit :

Rien n’est plus difficile que de simultanément débuter en plongée, débuter en photographies sous-marine et vouloir absolument photographier la vie sous-marine car il est évident que les années vont passer et ne me permettront pas de revivre de tels moments.

Etapes Préliminaires :

  • Choisir un petit appareil photo et le caisson étanche qui va permettre de photographier sous l’eau, le tout compatible avec un budget de particuliers.
  • Après bien des hésitations j’ai choisi un Olympus HD et son caisson nous étions en   2006. Par la suite, j’ai utilisé un Lumix.
  • Tester le tout ensemble dans la baignoire puis en piscine.
  • Arriver enfin sur un spot de plongée, se jeter à l’eau et photographier.

Voilà vous savez tout, et par la suite je fus tellement émerveillée par ce que j’ai découvert entre 35 m et 10 mètres sous l’eau que j’ai eu envie de vous montrer ces merveilles.

Une dernière précision : Ces photos ont été prises dans différents lieux et à des dates différentes. Mer de Sumatra en Indonésie, Océan Pacifique autour de Bali, Mer méditerranée au large d’Estartit dans une réserve sous-marine. 

Mes photos ont été prises à la volée sous l’eau car il est difficile de se stabiliser longtemps voire peu de temps d’autant que les plongeurs qui constituent la palanquée continuent à palmer sans trop vous attendre, et il vaut mieux éviter de les perdre de vue.

Jeanne-Françoise

Vous devez vous connecter pour accéder à Joomeo

13 réflexions sur « Promenade sous-marine »

  1. Belle palanquée de photos accompagnées d’une palanquée de plongeurs j’imagine ! Un monde mystérieux et difficilement approchable. Nul doute que devant ces créatures mystérieusement “extraterrestres” nous vient à l’esprit qu’il nous faut finir (ou commencer ) d’apprendre à préserver notre Terre et nos Océans ! Ces photos nous le rappellent.

    1. Tout à fait vrai. Les plongeurs même de loisir découvrent un monde étonnant qu’il faut préserver, voir une tortue prise dans des filets est très pénible…et de plus nous sommes souvent impuissants pour l’aider, pour des raisons diverses..
      merci

    1. Oui se stabiliser est difficile, régler l’appareil dans son caisson quasi impossible, cet album n’avait pas d’autre objectif que de vous faire partager le monde extraordinaire qui vit entre 10m et 35m sous nos palmes.
      Merci Michèle pour votre aimable et pertinent commentaire.
      Il ne me reste plus qu’à apprendre à manipuler un appareil photos…sur terre..objectif à atteindre..!!

  2. Le monde du silence nous est si étranger à nous habitués au plancher des vaches. J’imagine les multiples Difficultés de se déplacer,se stabiliser cadrer et régler l’appareil dans un univers liquide et tout cela sans compter les camarades qui parte à tire- palmes sans laisser d.adresse!

    Les conditions de lumière sont difficiles en profondeur sans l’apport de torches!
    Merci pour la découverte et le cadeau de ce dossier Jeanne-Françoise.

    1. Merci votre analyse est exacte.
      Il faut savoir que le coût des appareils professionnels permettant une prise de vue de qualité est extrêmement important et demande une assistance logistique impossible à mettre en œuvre pour des plongeurs de loisirs.
      J’ai été émerveillée par la découverte des fonds situés entre 10m et 35m en mer de Sumatra et ma seule ambition était effectivement de vous faire partager mon émerveillement…
      Je vais pouvoir apprendre à réaliser des photos de meilleure qualité …sur terre.
      Merci encore pour votre commentaire Pascal.

  3. Oser un regard sur un monde différent : la lumière, la faune, la flore … Et en plus de maîtriser les techniques pour survivre et se déplacer dans ce monde étrange, certains prennent le temps de butiner des photos pour montrer la beauté dans laquelle ils planent.
    Voici un album qui rend hommage à ce monde invisible à nous autres, piétons photographes qui arpentons le monde les semelles bien collées au sol, avec nos appareils stabilisés 5 axes. Jeanne Françoise nous emmène dans ce territoire si fascinant et si difficile explorer, ou balance des bleus, vitesse des courants et ouverture des branchies dessinent de nouveaux triangles. Chapeau Jeanne-Françoise. On comprend mieux ici ce qu’est le concept de sortir de sa zone de confort.

Laisser un commentaire